La communication analyse les aspects sociaux, politiques et technologiques des processus de production, diffusion et réception des messages médiatisés dans les sociétés contemporaines. Comme champ de production de connaissances, elle a pour objet d’étude les processus sociaux qui sont la fabrique même de la société : interactions sociales, usages sociaux des technologies d’information et de communication, pratiques de la vie quotidienne, médias d’information, culture populaire, industries culturelles, médiatisation de la politique, des discours et des savoirs. Son apport fructueux aux sciences sociales tient dans le regard critique qu’elle pose sur les rapports sociaux inhérents aux faits, aux produits et aux processus communicationnels, que ce soit à l’échelle inter-individuelle, organisationnelle ou institutionnelle. Enfin, la communication est aussi un domaine de pratique professionnelle dont il importe d’examiner les impacts dans les milieux et la société en général : publicité, journalisme, relations publiques, consultation stratégique, conception et diffusion de contenus numériques. Une formation universitaire en communication peut donc permettre aux praticiens et aux praticiennes de la communication publique d’acquérir des savoirs théoriques, pratiques et méthodologiques essentiels à une pratique professionnelle responsable et réflexive.
Ce programme s’adresse aux personnes qui, sans chercher à devenir des spécialistes, souhaitent acquérir une formation de base en communication sociale et publique. Une fois terminé, ce certificat peut donner lieu à un transfert de 30 crédits au baccalauréat en sciences sociales avec concentration en communication, au baccalauréat avec majeure en communication et au baccalauréat par cumul de certificats.
Le certificat en communication sociale et publique vise à :
• initier les étudiant(e)s aux théories et aux pratiques de la communication sociale et publique dans la société contemporaine;
• procurer aux étudiant(e)s des connaissances de base pour analyser le rôle de la communication dans les institutions et les organisations publiques et privées;
• amener les étudiant(e)s à comprendre les enjeux de la communication et à mettre en pratique des outils et des habiletés adaptés à différents contextes de communication.
Lieux d'enseignement et trimestres ouverts à l'admission pour ce programme.
Trimestre d'admission | ||||
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Lieu d'enseignement | Régime | Automne Aut. | Hiver Hiv. | Été Été. |
Gatineau | Temps complet | |||
Gatineau | Temps partiel |
Être titulaire d'un diplôme d'études collégiales (DEC) ou l’équivalent . La personne candidate peut être soumise à une entrevue au besoin.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires; les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Avoir réussi un minimum de 15 crédits universitaires, avec une moyenne générale de 2,0 sur 4,3 ou l'équivalent.
Posséder des aptitudes et capacités qui les prédisposent à poursuivre des études universitaires. À cet effet, la candidate ou le candidat doit répondre à un questionnaire et se soumettre à une entrevue au besoin.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires; les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Immigration, réfugiés et citoyenneté Canada (IRCC) et le ministère de l'Immigration, de la francisation et de l'intégration du Québec (MIFI) ont adopté un ensemble de mesures importantes qui peuvent avoir des impacts sur le cheminement migratoire des personnes étudiantes internationales. Voici les liens des messages publiés par la Direction des Affaires Internationales de l'UQO concernant les nouvelles mesures relatives au permis de travail postdiplôme :
Travailler ou vivre au Canada après l'obtention du diplôme
Nouvelle mesure depuis le 1er septembre 2024
https://uqo.ca/nouvelles/170170
Permis de travail Postdiplôme
Exigence linguistique et domaine d’études admissibles
https://uqo.ca/nouvelles/170172
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