La communication analyse les aspects sociaux, politiques et technologiques des processus de production, diffusion et réception des messages médiatisés dans les sociétés contemporaines. Comme champ de production de connaissances, elle a pour objet d’étude les processus sociaux qui sont la fabrique même de la société : interactions sociales, usages sociaux des technologies d’information et de communication, pratiques de la vie quotidienne, médias d’information, culture populaire, industries culturelles, médiatisation de la politique, des discours et des savoirs. Son apport fructueux aux sciences sociales tient dans le regard critique qu’elle pose sur les rapports sociaux inhérents aux faits, aux produits et aux processus communicationnels, que ce soit à l’échelle inter-individuelle, organisationnelle ou institutionnelle. Enfin, la communication est aussi un domaine de pratique professionnelle dont il importe d’examiner les impacts dans les milieux et la société en général : publicité, journalisme, relations publiques, consultation stratégique, conception et diffusion de contenus numériques. Une formation universitaire en communication peut donc permettre aux praticiens et aux praticiennes de la communication publique d’acquérir des savoirs théoriques, pratiques et méthodologiques essentiels à une pratique professionnelle responsable et réflexive.
Le programme de baccalauréat en sciences sociales (1) avec concentration en communication s’adresse aux personnes ayant un intérêt marqué pour la communication qui souhaitent se spécialiser dans ce domaine. Il permet aux étudiant(e)s de suivre majoritairement des cours de communication (2) tout en leur permettant de situer les études en communication au sein des sciences sociales en explorant les dimensions sociales, politiques, culturelles et médiatiques de la communication. Ce programme permet d’effectuer un stage de travail et de réaliser des sessions d’études ailleurs au Canada ou à l’étranger.
La concentration en communication vise à :
• former les étudiant(e)s aux éléments fondamentaux de l’analyse des enjeux de la communication dans la société contemporaine;
• doter les étudiant(e)s d’une maîtrise des connaissances théoriques et méthodologiques nécessaires pour étudier les phénomènes de communication et les environnements médiatiques;
• développer chez les étudiant(e)s une perspective critique sur la communication dans les institutions et organisations publiques et privées, sur le fonctionnement des médias et sur les usages des technologies de l’information et de la communication;
• procurer aux étudiant(e)s des compétences, des outils et des habiletés spécifiques aux milieux de pratique et aux domaines professionnels de la communication;
• transmettre aux étudiant(e)s une solide préparation tant au marché du travail qu’aux études supérieures.
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(1) Les sciences sociales ont pour objet d'étude la société dans ses multiples dimensions : historiques, politiques, sociales, économiques et culturelles. Elles sont composées de plusieurs disciplines (communication, histoire, science économique, science politique, sociologie, etc.) et champs d’études (développement international, développement territorial, études autochtones, etc.) favorisant une perspective d’analyse particulière ou un objet d’étude spécifique.
(2) Les étudiant(e)s qui préfèrent approfondir un deuxième domaine d’études peuvent opter pour le baccalauréat avec majeure et mineure alors que ceux qui souhaitent se familiariser avec un troisième domaine peuvent choisir le baccalauréat par cumul de certificats.
Lieux d'enseignement et trimestres ouverts à l'admission pour ce programme.
Trimestre d'admission | ||||
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Lieu d'enseignement | Régime | Automne Aut. | Hiver Hiv. | Été Été. |
Gatineau | Temps complet | |||
Gatineau | Temps partiel |
Être titulaire d'un diplôme d'études collégiales (DEC) ou l'équivalent.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
*EN VIGUEUR POUR L'HIVER 2025
Avoir réussi un minimum de 30 crédits dans un programme universitaire, avec une moyenne générale de 2,0 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
*EN VIGUEUR À COMPTER DE L'AUTOMNE 2025
Avoir réussi un minimum de 15 crédits universitaires, avec une moyenne générale de 2,2 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
*EN VIGUEUR POUR L'HIVER 2025
Être âgé d’au moins vingt-et-un (21) ans et posséder des aptitudes et capacités qui les prédisposent à poursuivre des études universitaires. À cet effet, la candidate ou le candidat doit répondre à un questionnaire. Au besoin, le candidat devra se rendre disponible pour une entrevue d'admission.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
*EN VIGUEUR À COMPTER DE L'AUTOMNE 2025
Posséder des aptitudes et capacités qui les prédisposent à poursuivre des études universitaires. À cet effet, la candidate ou le candidat doit répondre à un questionnaire. Au besoin, le candidat devra se rendre disponible pour une entrevue d'admission.
Tous les candidats et candidates doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes : le test de français de l'UQO; l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC); le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones. Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Immigration, réfugiés et citoyenneté Canada (IRCC) et le ministère de l'Immigration, de la francisation et de l'intégration du Québec (MIFI) ont adopté un ensemble de mesures importantes qui peuvent avoir des impacts sur le cheminement migratoire des personnes étudiantes internationales. Voici les liens des messages publiés par la Direction des Affaires Internationales de l'UQO concernant les nouvelles mesures relatives au permis de travail postdiplôme :
Travailler ou vivre au Canada après l'obtention du diplôme
Nouvelle mesure depuis le 1er septembre 2024
https://uqo.ca/nouvelles/170170
Permis de travail Postdiplôme - Exigence linguistique et domaine d’études admissibles
https://uqo.ca/nouvelles/170172
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir neuf (9) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir douze (12) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |
Ou choisir six crédits (6 crédits) parmi la banque de cours de l'UQO et le stage suivant: | ||
SSO5006 | Stage |