Objectifs généraux
En tant que discipline scientifique, l’histoire jette un regard critique sur le passé de l’humanité dont elle est la mémoire. Elle analyse les transformations et les évolutions des phénomènes sociopolitiques, au sens le plus large possible du terme. Dimension incontournable de l’expérience humaine, l’histoire permet de comprendre les enjeux lointains et récents dont l’évolution a façonné notre monde et continue à le faire. Les objets de recherche de tous les spécialistes des sciences sociales et humaines ont d’ailleurs une dimension historique puisqu’ils s’inscrivent dans le temps et ne sont pas le fruit d’une génération spontanée. Ainsi, l’histoire telle qu’on la pratique maintenant est loin d’une accumulation de dates, mais constitue plutôt une explication de l’univers social dans toute sa complexité. Véritable enquête, elle est le résultat rigoureux du traitement méthodologique des archives et des vestiges divers qui témoignent de l’expérience humaine, individuelle et collective, sous toutes ses formes et dans sa globalité.
Le programme de baccalauréat en sciences sociales (1) avec concentration en histoire s’adresse aux personnes ayant un intérêt marqué pour l’histoire qui souhaitent se spécialiser dans ce domaine. Il permet aux étudiant·es de suivre majoritairement des cours d’histoire, tout en leur permettant de situer les études en histoire au sein des sciences sociales en explorant les dimensions culturelles, économiques, politiques et sociales de l’histoire. Ce programme comprend deux stages rémunérés obligatoires, mais non crédités, d’une durée minimale de 12 semaines à temps complet (35 heures et plus/semaine). Grâce à ces deux stages, la personne diplômée au régime coopératif possède une expérience pratique lui permettant de s'intégrer plus harmonieusement au marché du travail.
La concentration en histoire vise à :
• doter les étudiant·es d’une compréhension avancée des outils conceptuels et des méthodes propres à l’histoire;
• amener les étudiant·es à saisir et à analyser les grands enjeux du monde contemporain et à en saisir l’évolution dans le temps;
• transmettre aux étudiant·es les compétences requises pour poser un problème dans une perspective critique, d’analyser ce dernier avec rigueur et de communiquer leur savoir historique;
• fournir une solide préparation tant au marché du travail qu’aux études supérieures.
Le régime coopératif donne accès à des stages rémunérés à temps complet d’une durée d’un trimestre chacun. Ce programme offre ainsi la possibilité de vivre des expériences professionnelles concrètes et facilite la transition vers le monde du travail. Lors de sa progression dans le régime, la personne étudiante se voit confier des responsabilités plus grandes, correspondant au niveau des connaissances acquises dans son programme.
Il est à noter que les personnes inscrites au régime coopératif doivent être inscrites à temps complet durant toute la durée des études, incluant le trimestre d’été qui s’étale du mois d’avril au mois d’août. Si une personne étudiante ne peut respecter cette condition, elle devra être redirigée vers le programme régulier et n’aura plus accès aux stages coopératifs. L’ensemble des conditions d’admissibilités au régime coopératif est indiqué dans le Guide de participation au régime coopératifs ou à la formation pratique intégrée.
(1) Les sciences sociales ont pour objet d'étude la société dans ses multiples dimensions : historiques, politiques, sociales, économiques et culturelles. Elles sont composées de plusieurs disciplines (communication, histoire, science économique, science politique, sociologie, etc.) et champs d’études (développement international, développement territorial, études autochtones, etc.) favorisant une perspective d’analyse particulière ou un objet d’étude spécifique.
Lieux d'enseignement et trimestres ouverts à l'admission pour ce programme.
Trimestre d'admission | ||||
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Lieu d'enseignement | Régime | Automne Aut. | Hiver Hiv. | Été Été. |
Gatineau | Temps complet |
Être titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC) ou l’équivalent avec une cote de rendement de 23 et plus ou l’équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
*EN VIGUEUR POUR L'HIVER 2025
Avoir réussi un minimum de 30 crédits dans un programme universitaire, avec une moyenne générale de 2,6 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
*EN VIGUEUR À COMPTER DE L'AUTOMNE 2025
Avoir réussi un minimum de 15 crédits universitaires, avec une moyenne générale de 2,6 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
Aucune admission sur cette base.
Immigration, réfugiés et citoyenneté Canada (IRCC) et le ministère de l'Immigration, de la francisation et de l'intégration du Québec (MIFI) ont adopté un ensemble de mesures importantes qui peuvent avoir des impacts sur le cheminement migratoire des personnes étudiantes internationales. Voici les liens des messages publiés par la Direction des Affaires Internationales de l'UQO concernant les nouvelles mesures relatives au permis de travail postdiplôme :
Travailler ou vivre au Canada après l'obtention du diplôme
Nouvelle mesure depuis le 1er septembre 2024
https://uqo.ca/nouvelles/170170
Permis de travail Postdiplôme - Exigence linguistique et domaine d’études admissibles
https://uqo.ca/nouvelles/170172
GESTION DU CONTINGENTEMENT
20 inscriptions à l’automne
10 inscriptions à l’hiver
La sélection des candidat·es est effectuée en respectant la répartition suivante entre ces catégories (1) (2) :
• Admission sur la base de DEC du Québec : 80 %
• Admission sur la base d’un diplôme équivalent au DEC du Québec : 10 %
• Admission sur la base d’études universitaires : 10 %
Pondération liée à la sélection pour chaque catégorie :
a) Base d’admission DEC du Québec (100 points)
- La cote R est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
b) Base d’admission diplôme équivalent au DEC du Québec (100 points)
- La moyenne cumulative est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
c) Base études universitaires (100 points)
- La moyenne cumulative est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
(1) Les places qui seraient non comblées pour une catégorie pourraient être transférées à une autre catégorie.
(2) La base d’admission la plus susceptible de favoriser l’admission du candidat sera utilisée pour la décision.
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir neuf (9) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir douze (12) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |