Objectifs généraux
La communication analyse les aspects sociaux, politiques et technologiques des processus de production, diffusion et réception des messages médiatisés dans les sociétés contemporaines. Comme champ de production de connaissances, elle a pour objet d’étude les processus sociaux qui sont la fabrique même de la société : interactions sociales, usages sociaux des technologies d’information et de communication, pratiques de la vie quotidienne, médias d’information, culture populaire, industries culturelles, médiatisation de la politique, des discours et des savoirs. Son apport fructueux aux sciences sociales tient dans le regard critique qu’elle pose sur les rapports sociaux inhérents aux faits, aux produits et aux processus communicationnels, que ce soit à l’échelle inter-individuelle, organisationnelle ou institutionnelle. Enfin, la communication est aussi un domaine de pratique professionnelle dont il importe d’examiner les impacts dans les milieux et la société en général : publicité, journalisme, relations publiques, consultation stratégique, conception et diffusion de contenus numériques. Une formation universitaire en communication peut donc permettre aux praticien·nes de la communication publique d’acquérir des savoirs théoriques, pratiques et méthodologiques essentiels à une pratique professionnelle responsable et réflexive. Le régime coopératif comprend d’ailleurs deux stages pratiques en milieu de travail.
Le programme de baccalauréat en sciences sociales (1) avec concentration en communication s’adresse aux personnes ayant un intérêt marqué pour la communication qui souhaitent se spécialiser dans ce domaine. Il permet aux étudiant·es de suivre majoritairement des cours de communication tout en leur permettant de situer les études en communication au sein des sciences sociales en explorant les dimensions sociales, politiques, culturelles et médiatiques de la communication. Ce programme comprend deux stages rémunérés obligatoires, mais non crédités, d’une durée minimale de 12 semaines à temps complet (35 heures et plus/semaine). Grâce à ces deux stages, la personne diplômée au régime coopératif possède une expérience pratique lui permettant de s'intégrer plus harmonieusement au marché du travail.
La concentration en communication vise à :
• former les étudiant·es aux éléments fondamentaux de l’analyse des enjeux de la communication dans la société contemporaine;
• doter les étudiant·es d’une maîtrise des connaissances théoriques et méthodologiques nécessaires pour étudier les phénomènes de communication et les environnements médiatiques;
• développer chez les étudiant·es une perspective critique sur la communication dans les institutions et organisations publiques et privées, sur le fonctionnement des médias et sur les usages des technologies de l’information et de la communication;
• procurer aux étudiant·es des compétences, des outils et des habiletés spécifiques aux milieux de pratique et aux domaines professionnels de la communication;
• transmettre aux étudiant·es une solide préparation tant au marché du travail qu’aux études supérieures.
Le régime coopératif donne accès à des stages rémunérés à temps complet d’une durée d’un trimestre chacun. Ce programme offre ainsi la possibilité de vivre des expériences professionnelles concrètes et facilite la transition vers le monde du travail. Lors de sa progression dans le régime, la personne étudiante se voit confier des responsabilités plus grandes, correspondant au niveau des connaissances acquises dans son programme.
Il est à noter que les personnes inscrites au régime coopératif doivent être inscrites à temps complet durant toute la durée des études, incluant le trimestre d’été qui s’étale du mois d’avril au mois d’août. Si une personne étudiante ne peut respecter cette condition, elle devra être redirigée vers le programme régulier et n’aura plus accès aux stages coopératifs. L’ensemble des conditions d’admissibilités au régime coopératif est indiqué dans le Guide de participation au régime coopératifs ou à la formation pratique intégrée.
(1) Les sciences sociales ont pour objet d'étude la société dans ses multiples dimensions : historiques, politiques, sociales, économiques et culturelles. Elles sont composées de plusieurs disciplines (communication, histoire, science économique, science politique, sociologie, etc.) et champs d’études (développement international, développement territorial, études autochtones, etc.) favorisant une perspective d’analyse particulière ou un objet d’étude spécifique.
Lieux d'enseignement et trimestres ouverts à l'admission pour ce programme.
Trimestre d'admission | ||||
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Lieu d'enseignement | Régime | Automne Aut. | Hiver Hiv. | Été Été. |
Gatineau | Temps complet |
Être titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC) ou l’équivalent avec une cote de rendement de 23 et plus ou l’équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
*EN VIGUEUR POUR L'HIVER 2025
Avoir réussi un minimum de 30 crédits dans un programme universitaire, avec une moyenne générale de 2,6 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
*EN VIGUEUR À COMPTER DE L'AUTOMNE 2025
Avoir réussi un minimum de 15 crédits dans un programme universitaire, avec une moyenne générale de 2,6 sur 4,3 ou l'équivalent.
Tous·tes les candidat·es doivent posséder une maîtrise suffisante du français attestée par la réussite à l'une ou l'autre des épreuves suivantes :
• le test de français de l'UQO;
• l'épreuve ministérielle de français exigée pour l'obtention du diplôme d'études collégiales (DEC);
• le test de français du MELS pour l'admission aux études universitaires ou les tests administrés par les universités francophones.
Dans les deux derniers cas, les personnes qui ont réussi les mesures compensatoires requises à la suite d'un échec sont réputées satisfaire à cette exigence. La politique institutionnelle de l'UQO précise les modalités d'application des présentes règles.
Note
Les reconnaissances des acquis feront l’objet d’une étude par le module. Un maximum de 10 cours (30 crédits) du programme pourraient faire l’objet d’une reconnaissance des acquis, et ce, uniquement dans la mesure où le plan de formation et les exigences de l’enseignement coopératif de l’Association canadienne de l'enseignement coopératif (ACDEC)-Québec et d’Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) Canada sont respectés.
Aucune admission sur cette base.
GESTION DU CONTINGENTEMENT
20 inscriptions à l’automne
10 inscriptions à l’hiver
La sélection des candidat·es est effectuée en respectant la répartition suivante entre ces catégories (1) (2) :
• Admission sur la base de DEC du Québec : 80 %
• Admission sur la base d’un diplôme équivalent au DEC du Québec : 10 %
• Admission sur la base d’études universitaires : 10 %
Pondération liée à la sélection pour chaque catégorie :
a) Base d’admission DEC du Québec (100 points)
- La cote R est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
b) Base d’admission diplôme équivalent au DEC du Québec (100 points)
- La moyenne cumulative est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
c) Base études universitaires (100 points)
- La moyenne cumulative est le seul critère utilisé pour évaluer la qualité du dossier scolaire des candidat·es
(1) Les places qui seraient non comblées pour une catégorie pourraient être transférées à une autre catégorie.
(2) La base d’admission la plus susceptible de favoriser l’admission du candidat sera utilisée pour la décision.
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir douze (9) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |
Choisir trente (30) crédits parmi la liste des cours optionnels suivante : |
Choisir douze (12) crédits parmi la banque de cours de l'UQO. |